Ce GP se distingue par sa finesse, ses intolérances et sa courte distance, la course de Monaco est l’un des circuits les moins favorables aux monoplaces répondant au règlement 2017. Il pourrait aussi et surtout avoir un véritable rebondissement sur l’opposition Ferrari-Mercedes. En effet, à Monaco plus qu’ailleurs, réussir la course est cruciale car dépasser ses concurrents est quasiment impossible, encore plus avec les monoplaces élargies de 2017.
3,337 km de circuit
18 virages
260,52 Km de distance de course
Le Grand Prix « glamour » du calendrier F1 se déroule depuis 1950 dans les rues de la Principauté de Monaco. Aujourd’hui quelque peu antique en comparaison des récents circuits visités par la discipline ces dernières années qui diffèrent complètement. Le circuit monégasque conserve son charme et offre chaque année un véritable challenge pour les pilotes. Monaco ? “C’est un circuit sur lequel tout se joue à la force mentale”, résume Lewis Hamilton, vainqueur à deux reprises en Principauté (2008 et 2016).
L’épingle, principale difficulté pour les pilotes
Elle fait partie des virages mythiques du Mondial et de son histoire. L’épingle du Loews, ou du Grand Hôtel, a dessiné quelques souvenirs inoubliables, comme la tentative mordante de dépassement de Michael Schumacher sur Alexander Würz en 1998. Courbe la plus lente du championnat, les pilotes y dépassent à peine les 45km/h.
Alonso absent, Button reprend le flambeau
Le Britannique Jenson Button, de retour pour une pige chez McLaren-Honda remplaçant l’Espagnol Fernando Alonso (qui dispute les 500 miles d’Indianapolis, en IndyCar, dimanche), a pour sa part pris le temps de faire connaissance avec les F1 version 2017.